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Programmation du ciné-club
2e semestre 2023

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Le ciné-club Image et Parole, fondé en 2018, fêtera ce semestre sa séance numéro 50 !

 

Pour ouvrir le programme du semestre, en première parisienne, le film Nidal, de Josefina Pérez-García et Felipe Sigala. Dans la ville de Concón, sur la côte du Chili, un écosystème se voit profondément transformé par l’industrie du tourisme de masse. Mais ce sont les images et les sons, et non une voix explicative, qui configurent cet objet cinématographique et politique. La séance sera suivie d’une discussion avec Felipe Sigala.

 

Le ciné-club recevra également le cinéaste Andreï Zviaguintsev, qui viendra discuter avec le public après la projection d’Elena, son troisième long-métrage. Le film a reçu le Nika en Russie en 2012 et le Prix du Jury – Un certain Regard au Festival de Cannes en 2014.

 

Deux séances en partenariat avec le projet CulturIA de l’Agence Nationale de la Recherche apporteront à l’exploration du sujet de l’intelligence artificielle d’autres perspectives. D’abord le classique THX 1138, premier long-métrage de George Lucas, puis Under the Skin, troisième long-métrage de Jonathan Glazer. Si le premier film montre une société contrôlée brutalement par un pouvoir qui reste invisible mais dont la force est exercée par des entités technologiques, le second met en scène une autre forme d’intelligence non humaine, mais finalement assez proche de l’humain.

 

Enfin, pour fêter la 50e séance du ciné-club, le film qui a donné le nom à l’association et le réalisateur qui a inspiré une bonne partie de ses activités : Le Livre d’image de Jean-Luc Godard. Ce dernier long-métrage de Godard est, une fois de plus, un exercice de pensée et d’art cinématographique, une réflexion sur les formes essentielles du cinéma, sur l’image et la parole. 

Programmation du ciné-club
1er semestre 2023

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Les neuf films de cette programmation constituent autant d’occasions pour interroger le cinéma, ses formes, ses techniques, ses positionnements politiques, esthétiques, philosophiques. Il peut être question d’un lien invisible, sonore, entre l’un et l’autre, entre le présent et le passé, entre le connu et l’inconnu, dans un espace et un temps qui sont ceux du rêve (Memoria) ; ou bien une réflexion cinématographique sur la fin du monde, la fin de l’action, du mouvement, de la chaleur, de la lumière… du cinéma (Le Cheval de Turin). Deux séances seront une porte d’entrée pour le Festival de Cinéma Latino-américain de Paris (CLaP) : un programme de courts-métrages en hors compétition, qui sera également accompagné par l’annonce de la sélection, ainsi que la projection du film La Barbarie, d’Andrew Sala, en partenariat avec le Festival Cinélatino de Toulouse. Deux séances, enfin (en partenariat avec le projet CulturIA de l’Agence Nationale de la Recherche), continuent l’exploration de la représentation de l’intelligence artificielle dans le cinéma : Alphaville, première et très originale mise en scène de la « singularité technologique », et Ex Machina, où l’on abandonne le portrait classique d’un savant fou pour rencontrer les ingénieurs de la Silicon Valley.

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